Innovateur
Kathy Berger est directrice des Services alimentaires et du Standard téléphonique pour Health Sciences North à Sudbury en Ontario. Elle œuvre dans le domaine des services alimentaires dans les soins de santé depuis 31 ans. Elle a joué un rôle important dans la fusion de trois services alimentaires de soins actifs, qui a entraîné l’ouverture d’une seule installation en 2010. En 2014, Kathy a participé au programme de mentorat My Sustainable Canada afin de rendre l’approvisionnement public plus novateur. Cela lui a permis d’accroître l’achat local de 24 % pour le menu des patients. Elle s’est engagée à poursuivre sur cette voie afin de proposer des produits locaux de grande qualité pour répondre aux besoins des patients.
Health Sciences North (HSN)
Health Sciences North (HSN) repose sur une nouvelle approche pour permettre des soins, de la recherche, de l’enseignement et de l’apprentissage de qualité élevée, dans la région desservie et au-delà. Il s’agit d’un réseau intégré de programmes et d’établissements qui collabore pour le bien-être des patients, des communautés, des médecins, des chercheurs, du personnel et des étudiants, et ce, en matière de prévention, de diagnostic, de traitement et de soins. HSN propose divers programmes et services qui répondent à de nombreux besoins, notamment des programmes régionaux de pointe en soins cardiaques, en oncologie, en néphrologie, en trauma et en réhabilitation. Le réseau compte 3 900 employés, plus de 280 médecins, 700 bénévoles et une vaste gamme de services répartis dans huit programmes clés, allant des soins ambulatoires au Northeast Cancer Centre.
La Vision pour Nourrir la santé
Les services alimentaires d’Horizon Santé-Nord à Sudbury souhaitent maintenir ou augmenter le volume d’aliments locaux qu’ils se procurent pour préparer les repas des patients, et feront le nécessaire pour que cette mesure ne passe pas inaperçue. La réussite de ce projet repose sur l’engagement des membres de notre personnel, et sur le travail en étroite collaboration avec les patients et leur famille, alors que nous cherchons à enrichir l’expérience culinaire des patients et à améliorer leur satisfaction générale.
Ma vision pour l’avenir consiste à utiliser des parcelles de potager existantes pour y cultiver des herbes, qui serviraient à rehausser la saveur des plats que nous servons aux patients ou que nous vendons. Au fur et à mesure que le projet évolue, il pourrait être possible de cultiver une plus vaste sélection de produits alimentaires. J’appuie également la constante recherche d’options pour composter nos résidus alimentaires « propres », ce qui permettrait de réduire la quantité de matières que nous envoyons à la décharge locale. Il serait possible de déterminer les besoins en compost en travaillant avec les autorités municipales ou en discutant avec les agriculteurs locaux.
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